Source Guy Dürrenmatt
La collaboration des Bonnardel et des "Maîtres des Forges" Schneider a commencé en 1840 (voir MISSOURI) par :
"...la construction de bateaux avec des machines à vapeur françaises de 120 cv. Ils avaient pour noms : le CROCODILE et le MARSOUIN et pouvaient transporter 120 t à la remonte, puis vinrent le MISTRAL et le SIROCCO que l'on chargeait à 200 t."
L'un de ces bâtiments est passé à la postérité dans "Le Poème du Rhône" de Frédéric Mistral :
"...filant comme l'éclair, le Crocodile
(c'était le nom du vapeur) a saisi,
par une de ses aubes, la penelle,..."
Ce CROCODILE, bateau du diable, est donc la cause du naufrage qui s'ensuivit, de la rigue de Maître Apian.