VAGUS-VAGRANT

on choulle avec des fonds de bateaux a genouillieres moins si a cornieres

Al'attention de Plaquet,
Cornières ou pas, avec + de 6000 m/c à Beaucaire (avalant à vide), un mistral à + de 80 km/h, pour une vitesse de croisière à plus de 25 km/h, à mon avis ce qu'il faut : le savoir,la pratique des Capitaines et c'est tout.
Même canalisé le Rhône ne sera jamais le canal du nord, qu'on le sache, une fois pour toute.
Baron

Salut. J’avais lu quelque part, qu’il fallait 6 fois plus d’énergie pour un bateau pour remonter le Rhône que le Rhin ; bon bien sûr, info à confirmer.
Ainsi que la canalisation du Rhône a pour but principal la production électrique, et que l’amélioration de la navigation vient en second plan, propos souvent entendu des riverains du Rhône, bon, à voir, je ne sais pas.

Vous dire que pour remonter le Rhône, il faut 6 fois plus d'énergie que pour le Rhin, je ne pense pas , messieurs les Usagers pourraient facilement répondre à cette question.
Quand à l'aménagement du Rhône, il est vrai que les trois priorités étaient :
-la production hydraulique (à l'époque l'on ne parlait pas ou peu de l'énergie "propre")
-la navigation
-l'irrigation des terres (culture et protection de la population)
Cela faisait partie des missions de la CNR
Baron

baron desolé avalant on se presente pas a fond la caisse la puissancce sert a sortir de la rodée
le rhone je l ai connu pour la mise en service de donzere service alcool du nord pour par beauceaire st gille pres de nimes
22 an de sogestran

é les bouteurs sont pas pour rien

Je ne veux pas "lancer" un débat, sur la vitesse des avalants sur le Rhône.
Tout d'abord, le "bouteur" sur le rhône est dans les musées depuis belle lurette.
Tous les bateaux (aujourd'hui) ont des propulseurs d'étrave,avec une puissance bien superieur et de beaucoup avec ce que vous aviez comme moteur principal sur votre 38 m (certain ont plus de 500 ch: cinq cents)
La Sogestran, je connais moi aussi (5 ans et six mois de ma vie) et je peux vous dire que le Simbeu avalant (avec deux barges à vide) aux ponts doubles, avec du débit et un fort mistral (vous ne savez peut-être pas qu'il y une "trouée " qui laisse passer le vent) l'on ne passer pas les ponts sur l'embrayage, mais avec une vitesse soutenue et sans aucune visibilité, même de jour.
Je pourrais vous parler du Rhône, car le sujet je le connais depuis bientôt 40 ans.
Au plaisir et bonne méditation sur le sujet.
Baron

l epoque du brau é simbeu des schottels plus maneuvrabre que les new pousseur avec 2 gouvernaills qui bouche la sortie d eau des tuyeres é chuter les moteurs en tours
quand au propuslseur d etrave etant sur l avant du pouseur ineficace en navigation

A l'attention de Mr Plaquet 76780.
Afin de clore la "discution" sur la vitesse des avalants sur le Rhône, je ne dirais que deux mots.
Avant, nous avions comme éclairage des bougies, comme chauffage du bois et charbon, les bateaux un 30 Climax, un bouteur, des perches etc....
Maintenant, avec la navigation moderne: radar, pilote automatique,de grosses puissances en salle de machine, gps, etc... la liste est grande.
Il faut évoluer avec son temps, je sais parfois cela est dur et pas facile.
Comme méditation je vous conseille : le passé éclaire l'avenir.
Baron

Pour le vocabulaire batelier, on trouve beaucoup de réponses dans le "Dictionnaire MARINIER illustré" de Dantec à
Bief Edition BP 96 21170 Saint-Jean-de-Losne.
Je confirme la rodée d'Arles à 120°, et qu'à l'époque du Rhône naturel, les deux plus redoutées étaient Le Revestidou et Condrieu.
Les dérivations ont permis d'en "couper" quelques unes, et de raccourcir notablement les parcours. Néanmoins, il reste encore quelques rodées remarquables. On peut le voir avec le guide du Rhône Vagnon N°5 : Givors, Vienne, Condrieu, PK 80 (Saint Vallier, Tournon (évidemment), Vallabrègues et Arles. En Camargue, où le fleuve est assagi, on peut parler de méandres, terme réservé en général aux rivières et fleuves lents avec plusieurs virages qui s'enchaînent, des sinuosités.
On caleyait effectivement dans les meuilles, derrière des épis ou des piles de pont, ou encore en longeant au plus près les berges du canal de Mondragon, par exemple.

Merci pour les infos sur le dico des Mariniers.
A une certaine époque avant sa publication, je ne souviens que mon père et d'autres Mariniers de Saint Jean de Losne avaient été consultes pour avis.
Pour les méandres du Rhône en aval d'Arles, je ne les situes pas du tout. Soyez plus précis.
J'ai beaucoup pédaler (vélo) dans ce quartier entre Port Saint louis du Rhône et Arles en le suivant de très prés et il me semble qu'il n'y a que des interminables lignes droites.
Baron

D'accord, ce sont plutôt de douces ondulations, mais tout de même pas aussi rectiligne que les 7,3 km de feu le tunnel du Rove.
Moi qui pédale AUTOUR du Ventoux et dans les Baronnies, je me dis chaque mois, en allant à Saint Louis (voir ma maman, et les bateaux), qu'il faut avoir bien du courage pour faire Arles-Saint Louis en vélo. Heureusement, il y a la côte de l'écluse de Barcarin !..

'Moi c'est autour de Moulès c'est plus plat que plat.
Ci-joint Condrieu et le Revestidou

Bonjour,
Je suis tout à fait d'accord pour Condrieu, le Revestidou (j'ai effecteur beaucoup de planches à voiles dans les années de 1984 à 1993, 80 jours par an en moyenne)
La rodée d'Arles c'est vrai qu'il y a une belle courbe à droite.
Pour ce qui est de pédaler entre Arles et St louis, je partais d'Avignon en principe vers 4 h du matin (hiver comme été, une fois par semaine) en direction de St Louis, pause vers l'écluse (croissants et café) et retour à Avignon pour partager le repas de midi avec ma famille. 18O km en 8 heures arrêts compris.Par contre les jours de très fort mistral, 2h30 à aller et plus de 5 pour le retour.Donc je connais un peu la région.
J'espère que je n'ai pas trop "polluer" avec mes histoires de vélo.Promis-juré, j'arrête!!
Baron

Baron ce n'est pas de la pollution au contraire 5 heures contre
le mistral c'est de la depollution personnel ,
Bravo même si c'est plat .